Diversité altermondialiste

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multicolore et multitextile

lundi 31 décembre 2018

PYRAMIDE : Le peuple d'en-bas sous deux formats

PYRAMIDE : Le peuple d'en-bas sous deux formats
Le surgissement des gilets jaunes dans les espaces publics, de France et d'ailleurs, en novembre-décembre 2018 (et après) , a fait surgir autrement la question du "peuple social" ou du "peuple d'en-bas". 
On y lit une conception des subalternes sans racisation ! Subalterne soit de rang inférieur dans la hiérarchie de l'Entreprise-France ou de la Start-up nation qui calque toute la vie sociale sur le modèle de l'Entreprise capitaliste. En somme on quitte la soumission au patron en entreprise pour passer, hors travail, à la soumission aux "premiers de cordée", ceux qui rendent les fins de mois difficiles !


XX
LOIN DU PEUPLE COMMUNAUTAIRE

Il ne s'agit pas des différentes formes du "peuple-totalité" ou peuple communautaire, visant les quasi 100% de la population, entendu soit comme l'ensemble des résidents d'un pays sur un territoire y compris les mineurs, soit comme peuple-nation qui peut exclure les résidents étrangers, soit comme peuple démocratico-citoyen disposant des droits de citoyenneté à partir de 18 ans.
Ce peuple démocratico-citoyen a sa légitimité mais n'oublions pas non plus qu'il sert à la doxa de référence à la défense de la "démocratie réellement existante", soit un dispositif élitiste de type centriste qui mérite critique sur plusieurs points : les citoyens ne font pas les lois (thème du RIC ) , le dispositif présidentialiste (qui avec Sarkozy et Macron tourne en césarisme) et parlementariste (si peu populaire, si fortement classes moyennes supérieures).
On peut répertorier d'autres peuples à contenu transclassistes ou interclassistes qui ignorent les distinctions internes de classes sociale: peuple ethnique, peuple indigène, etc...
Ce qui est à noter ici au plan analytique, à la suite du mouvement gilets jaunes de novembre-décembre 2018 (et qui n'est pas terminé) c'est une conception nouvelle qui distingue le peuple et la classe sociale dominante.  Ce peuple ne peut plus être confondu avec un peuple englobant, cache-sexe du classisme (domination de classe ou politique de classe - CD), se nomme peuple d'en-bas ou peuple social. 

XX
DEUX FORMATS DU PEUPLE 

Deux formats sont à distinguer en cette fin d'année 2018 : le spectre large à 99% et un spectre plus restreint du peuple d’en-bas.:

1 - En spectre très large on a le peuple-classe (99%) opposé au 1%, la classe dominante 
La classe dominante (bicéphale) est conçue comme à l'offensive (classisme) contre les classes populaires (loto sensu) car elle mène des politiques d'austérité variable, que ce soit globalement ou sectoriellement (dans l'emploi, au travail, en entreprise ou dans la fonction publique)
Aménagement 1 : D'après ATTAC, avec M Macron, ce serait un bloc de 5 % d'en-haut qui serait avantagé par sa politique fiscale. 
LES RICHES du 5% d'EN-HAUT (ATTAC) : BLOC SOCIAL D'EN-HAUT - Amitié entre les peuples
Mais cela ne change pas la conflictualité-type peuple-classe en résistance au 1% classiste.
Aménagement 2 : Auparavant, je pouvais faire aussi, comme suite à divers travaux d'économistes, comme Thomas Picketty, une mention particulière au dernier décile d'en-haut comme couche sociale hétérogène, non pas riche mais aisée, bénéficiant d'un contenu patrimonial certain et pouvant devenir - politiquement - "bloc d'appui" du 1% et de la « stratosphère » (T Picketty).

2 - En spectre plus étroit, il y a "le peuple d’en-bas des gilets jaunes"
Sans-culottes ou plèbe moderne il est de format plus étroit que le peuple-classe. 
Le peuple d’en-bas est en position la plus subalterne. Il rassemble les classes sociales - sans distinction de « races » - les plus soumises au pouvoir des classes dominantes, toutes celles qui vivent le plus mal, avec des fins de mois difficiles, de 0 (pauvre) à 2 SMIC.
Il forme, on l'a dit, un bloc social d’en-bas , bloc signifiant alliances de classes sociales ici d'en-bas :pauvres, modestes, moyennes basses.
Ce peuple d'en-bas des gilets jaune est subjectif car il agit, il lutte. Ce n'est pas un peuple objectif, pensé et théorisé.
Actif et en lutte maintenue : Des petits patrons soutenaient le 17 novembre ; dès le lendemain, ils réclamaient « un retour à la normale » : pas question de mettre en danger leurs bénéfices ! En réalité, ce sont « celles et ceux d’en bas » qui se révoltent ; avec forte présence des femmes.

3 - OUVERTURES THEORIQUES.
« bloc d’en-haut - bloc d’en-bas avec un entre-deux incertain »
Le peuple-classe est certes issu de la mobilisation "Nous sommes les 99%" d’Occupy Wall Street : il a donc été "peuple d'en-bas en lutte", repris par les révolutions du sud il y a quelques années, mais il est devenu plus désormais - pour moi en tout cas - un peuple pensé et théorisé contre la doxa qui masque le classisme, le conflit de classe entre les élites néolibérales et le reste de la population.
Toute théorisation connait des aménagements du fait des critiques mais aussi du réel. C'est pourquoi il apparait à l'issue du phénomène "gilets jaunes" qui s'est internationalisé une distinction nouvelle : bloc d'en-haut - bloc d'en-bas avec entre un entre-deux incertain que l'on nomme les classes moyennes et qui sont un enjeu de mobilisation pour un bloc ou un autre. 
Autres questions
Comment le bloc d'en-bas devient peuple-classe ou formation nationale-populaire ? 
Quel contrat élite-peuple permet cette promotion collective d'en-bas pour éviter que la plèbe moderne (gilets jaunes) reste dans la précarité et les fins de mois difficiles (de 0 à 2 smic )!
xx
Le ruissellement en image !

ruissellement © ruissellement@CDruissellement © ruissellement@CD
Le festin c'est pour l'entre-soi des riches du 1%, pas pour le peuple-classe et surtout pas pour le peuple d'en-bas en gilet jaune.
Mais pour l'un ou l'autre les miettes économiques comme les miettes démocratique sentent mauvais.
Du ruissellement merdique en quelque sorte !



dimanche 30 décembre 2018

Théorie du ruissellement vue par le peuple-classe.

Le 1%, son festin en entre-soi, ses miettes liquides nauséabondes (dites ruissellement) sur le peuple-classe 99%. 

Une fraction d'en-bas de ce peuple-classe a mis le gilet jaune pour le partage et l'égalité au travers de la justice sociale. Ils allèrent même jusqu'à critiquer la "démocratie réellement existante" qui laissait les décisions à celles et ceux d'en-haut et quelques miettes de votations pour le peuple-classe.

Christian DELARUE

samedi 29 décembre 2018

L’OPA de Florian Philippot sur les gilets jaunes est hors jeu !

L’OPA de Florian Philippot sur les gilets jaunes est hors jeu !
OPA par dépôt de la marque « Les gilets jaunes » à l’INPI. Premier texte lu sur RT (1 )


Clownesque ou odieuse elle fait réagir !
M Florian Philippot, extrême-droite nationaliste du groupe politique « Les Patriotes », veut « rapatrier » et « marquer » officiellement les termes « gilets jaunes » sous son parti politique. Cette appropriation détestable se distingue d’une initiative visant à placer un ou des gilets jaunes sur sa liste électorale (quoiqu’on en pense).
1) Prenons certains éléments qu’il instrumentalise sans voir les différences de positions
Certes on trouve une dimension identitaire, plutôt implicite, chez les gilets jaunes mais elle est transversale à la société française et transcourant politique (dans chaque parti) : l’immense majorité ne veut pas mélanger religion et mouvement GJ. Les signes ostensibles de religion (SOR) y sont très rares ! Il y a des exceptions.
On y voit parfois des drapeaux bleu-blanc-rouge (BBR) mais ce n’est pas nécessairement contre les migrants internationaux contraints, ni une allégeance au 1% d’en-haut de France. Par contre il y a pour les migrants souci d’intégration. Ce positionnement n’est ni RN ni gauche radicale !
On peut y voir aussi une contestation de l’Union européenne mais une contestation d’en-bas, par en-bas, pour en-bas, ce qui se cale mal avec un souverainisme national, faisant la part belle au MEDEF.
2) Les Gilets Jaunes sont un mouvement hétérogène d’en-bas de la société civile,
Il sont aussi et surtout hors parti(s) politique(s) et hors syndicats de travailleurs
Il apparait donc faux - voire illégal - qu’un parti puisse s’approprier cette mouvance se déployant hors toute institution.
Les Gilets Jaunes sont aussi en définition ouverte : à choisir : Retour ligne manuel
- les classes populaires plurielles Retour ligne manuel
- les classes sociales modestes et moyennes basses (de 0 à 2 smic) Retour ligne manuel
- le peuple d’en-bas Retour ligne manuel
- le bloc social d’en-bas (alliance de classes sociales)
etc
- Au figuré : Les GJ sont en quelque sorte les sans-culottes d’aujourd’hui.
M Philippot représente la France d’en-haut et sa branche la plus xénophobe !
Or la revendication globale d’une justice sociale et fiscale s’oppose frontalement aux classes dominantes du 1% d’en-haut tant au plan de l’UE (pas de chance pour les Européistes libéraux ou socio-libéraux) qu’au plan national (pas de chance pour un souverainisme de droite ou de centre-gauche).
Celle du RIC ou du RIP est déjà plus « récupérable » au sens ici de dévoiement au profit de la « démocratie réellement existante » et de la « République réellement existante » . Mais cela est possible et normal .
Christian DELARUE
cf
1) Les Patriotes de Florian Philippot déposent la marque « Les Gilets jaunes » en vue des européennes — RT en françaisRetour ligne automatique
https://francais.rt.com/france/57268-patriotes-florian-philippot-deposent-marque-gilets-jaunes-europeennes

mercredi 26 décembre 2018

Chrétiens en gilets jaunes, solidaires des classes sociales modestes !

DIEU avec les GJ ?
Chrétiens de gauche en gilets jaunes, solidaires des classes sociales modestes !
Certains « Gilets jaunes », des femmes surtout, se disent chrétiennes (catholiques semble-t-il) et montrent une forte sociabilité sur les rond-points en participant aux diverses activités . En y restant durablement (car tous ne restent pas des heures sur un même rond-point ). Chaque lieu s’organise comme il veut.
Soit elles sont elles-mêmes de condition sociale modeste (chômeuse, smicarde, précaire, etc) , soit elles sont solidaires des gilets jaunes comme des « nouveaux pauvres ». En tout état de cause on retrouve ici une sorte de branche « théologie de la libération » qui se distingue d’un christianisme « bobo » ou « bcbg », beaucoup plus en critique de ce mouvement populaire.
On trouve en effet des chrétiens éloignés de ces considérations sociales et plutôt porteurs de critiques : « Ils sont trop violents », « ils ont »vu un gillet jaune en 4X4« , »il y a des racistes« , »à deux fois le smic on n’est plus un pauvre !" etc... Et les autres passent à la trappe de la sympathie chrétienne !
Pour certains et certains, plus proches des Gilets jaunes mais néanmoins hésitants, il y aurait trop de « contre » et pas assez de « pour » . Or tout mouvement de masse commence par des positions en « contre » avant d’aller, chemin faisant, vers des positions en « pour ». Ici le sociologue rejoint l’expérience du syndicaliste ! De fait les GJ passent peu à peu de la critique d’en-haut (le 1%) à la perspective de justice sociale et fiscale. Mais ce n’est pas simple. Souvent, d’ailleurs, il apparait bon de garder ensemble, le contre et le pour !
criseGJpistescatho © CDcriseGJpistescatho © CD
Enfin, pour avoir parcouru deux revues catholiques « La Vie » et « Pelerin » je n’ai pas franchement lu d’appel à la solidarité avec les GJ.
JC Guillebeau valorise longuement les GJ mais que sur le volet sociabilité et même joie de vivre ensemble mais ne dit rien - pas un mot - du pourquoi ces gens sont ensemble : Ni de ce qu’ils rejettent en terme d’austérité d’en-haut contre les classes modestes , ni de ce qu’ils veulent positivement au titre des conditions sociales, matérielles et financières, pour une vie meilleure. Spiritualité ne doit pas rimer avec hypocrisie !
Benoit Fidelin arrive même à mettre Marine Le PEN et Jean-Luc MELENCHON sur le même plan à propos des GJ violents d’une façon peu claire ! On sent un positionnement politique centriste, de facture conservatrice de l’ordre des choses. Rien qui puisse témoigner d’une compréhension à l’égard de celles et ceux d’en-bas, de 0 à 2 fois le SMIC !

Christian DELARUE

lundi 24 décembre 2018

Gilets jaunes non racistes

Gilets jaunes non racistes

http://amitie-entre-les-peuples.org/Gilets-jaunes-non-racistes
Préalable :
Il n’y a pas de gilet jaune officiel pouvant dire une ligne, une orientation sauf quelques revendications générales de justice sociale et fiscale puis dans les derniers temps une volonté de changement démocratique avec le référendum d’initiative citoyenne (RIC) ou populaire (le RIP). Le tout se discute encore sur les ronds-points de Noel.
Ceci étant précisé, il importe de souligner que l’immense majorité des gilets jaunes sont soit clairement antiracistes et non xénophobes (contre les migrant.es internationales contraint.es) soit plus simplement à dire ces questions hors sujet chez les Gilets jaunes. Hors « objet social » en quelque sorte !

XX
On trouve ici ou là quelques ronds-points tenus par des « patriotes » très imbus de nationalisme viscéral très éloignés des revendications sociales des Gilets jaunes aux fins de mois difficiles. Ces patriotes détournent les revendications au lieu de les défendre . Les Gilets jaunes existent ailleurs en Europe. Ils sont le "peuple d'en-bas", le bloc social des classes sociales modestes et moyennes basses (grosso modo de 0 à 2 fois le smic) !
De fait, il y a certes des racistes, des xénophobes, des sexistes, des homophobes, des sécularistes (ultra-laicité) des sexyphobes, des sexoséparatistes chez les gilets jaunes... comme chez les français ! On peut les condamner - je le fais ici - mais sans faire pour autant du « racisme anti-gilet jaune ». Sans généraliser donc.
Les gilets jaunes ne sont pas plus racistes que les français globalement. Le racisme comme le sexisme, la lgbtphobie, se rencontre dans toutes les couches et classes sociales de la société française. Mais ce constat n’est pas une excuse pour signifier que le racisme antisémite ou d’une autre forme de racisme, n’est pas une opinion. La loi l’interdit. C’est donc condamnable.
Pour autant il faut se garder d’user du même mécanisme que les racistes. Partir de ce qui est très contestable chez certains (une minorité) et généraliser à tous. Or j’ai remarqué cette généralisation très contestable.
Cela ressemble par exemple au propos suivant : Des musulmans sont des intégristes sexyphobes ou-et sexoséparatistes, d’ailleurs tous le sont peu ou prou ! Ce type de raisonnement qui globalise est faux et source de racisme. Il s’agit d’une mise en communauté forcée.
Réciprocité des violences.
On constate aujourd’hui, au-delà des formes de critiques symboliques « primaires » de Macron (trancher la tête du roi, etc.) - dont certaines sont illégales - analysables comme réponses trop « basiques » au mépris de classe incroyable du locataire de l’Elysée, des formes de « richophobie » !
Il y’a aussi une vive critique des nouveaux mots contre le « vivre ensemble égaux de la République comme Star-up nation et Entreprise-France avec le peuple-classe derrière les »premiers de cordée« du 1% d’en-haut. C’est détestable ce langage. Détestable aussi le ’traverser la rue pour trouver un job ». D’autres encore !
La question des violences policières n’est pas traitée ici mais il y a des positions contrastées chez les Gillets jaunes : défense parfois, vives critiques souvent. Et cela se comprend le plus souvent.
La richophobie se comprend.
On peut certes répondre que « ce sont les oppressions qu’il faut haïr et pas les humains » (c’est partiellement vrai mais c’est surtout un bon mécanisme intellectuel de distanciation de la haine de classe) . Cependant l’argument a ses limites car ces oppressions dites systémiques ou structurelles contre le bloc social d’en-bas ont bien des individus porteurs. Elles ne tombent pas du ciel ! Elles viennent d’en-haut, tant des gouvernements de droite et de gauche (Mitterrand post 1983 à Hollande) et derrière, le MEDEF et l’Etat-medef (livre sur la Caste de Mauduit récemment) et plus globalement des classes sociales dominantes (au pluriel) ou du 1% d’en-haut.
Dans la mesure ou il n’y a pas violence - mais il y a aussi de la violence d’en-haut (pas d’hypocrisie), cette richophobie doit se comprendre comme une critique des responsables de la prédation économico-sociale et des fortes inégalités sociales.
Le Président de Renault-Nissan qui percevait 25 000 euros par jour était jugé grand voleur et ce même si son action s’inscrivait dans la loi ; et ce bien avant qu’il soit appréhendé au Japon. Ce qu’on appelle, plus ou moins justement, la financiarisation du monde, autorise légalement une sorte de prédation sociale et écologique fort nuisible quoique légale.
Christian Delarue

samedi 22 décembre 2018

Richophobie assumée

Richophobie assumée

Le 1% pillards du peuple-classe ! En tout cas le 1% accumule trop de richesse . C'est la redistribution qui est en cause. 

Haine des riches ? De quoi la "foule haineuse" a-t-elle la haine ? 

- de la prédation et de ses mécanismes
- de Macron et surtout de la politique
- des élites et surtout du fait qu'ils mènent des politiques favorables aux riches (cf ATTAC et les 5% d'en-haut)

Richophobie assumée ne signifie pas tout casser à priori, bien que cela ne soit pas exclus.
Richophobie ne signifie pas plus vouloir la richesse du 1% pour soi . Surtout pas !- 
Il s'agit surtout que les riches - le 1% d'en-haut pour être précis- paient vraiment beaucoup plus pour que les pauvres aient plus ! C'est une redistribution vers le bas qui est demandé. L'inverse de ce qui se fait.

Etre richophobe ne signifie pas tout casser bien que cela puisse surgir avec l'insurrection qui vient. Les casseurs ne sont pas ceux qu'on croit ! Qui casse les "appuis sociaux" qui permettent aux jeunes de devenir adulte et aux séniors de rebondir ?
Il y a les casseurs d'en-bas qui sont épisodiques et les casseurs d'en-haut qui cassent en silence, avec des lois. Il y a aussi ceux qui cassent les individus au nom de l'Etat.

Richophobe signifie critiquer une 'élite particulière qui glose sur la méritocratie non pour accroitre la connaissance de tous comme tout bon prof le fait mais pour se gaver de pognon comme on dit certes vulgairement mais fort justement ! 

Richophobe c'est pour diminuer la richesse des riches pour mieux la répartir ! C'est un vecteur de la justice sociale et fiscale !quand les élites n'entendent rien et continuent la même politique de privatisation et d'enrichissement des riches. 

LU (décembre 2018) 
Primes variables versées selon les entreprises (dans le privé) :
1 er niveau (classes modestes) : jusqu’à 1,5 fois le Smic , 
2nd niveau (moyen bas - au-dessus) : entre 1,5 et 2 Smic = somme moindre . 

Quid des fonctionnaires sur ces deux niveaux ?
Les retraités ?

Ici on peut voir que c'est surtout un mécanisme de domination, d'oppression et d'exploitation qui est critiqué.

Quand Sartre disait "Pour aimer les hommes, il faut haïr ce qui les opprime", tout est dans ce "ce". La réaction n'est pas dirigé contre un groupe d'hommes ou des individus mais contre les mécanismes de l'oppression. 


Christian DELARUE

NB : Dire "lutter contre inégalités contribue à un appauvrissement moyen de la société" n'est pas une réponse car nombre gilets jaunes se moquent de "l'appauvrissement moyen" (moi aussi d'ailleurs s'agissant de la France vu sa place au PIB) mais pas de la pauvreté des pauvres et la faiblesse des revenus des classes modestes .

mardi 18 décembre 2018

Classes modestes et classes moyennes, ensemble, en gilet jaune contre le 1%,


Classes modestes et classes moyennes, ensemble, en gilet jaune contre le 1%, pour les revendications sociales et fiscales !

dimanche 16 décembre 2018

Quelle gauche rouge-verte veut changer de cap ?

Quelle gauche rouge-verte veut changer de cap ?
 Et pourquoi le peuple-classe reste en lutte ce 14 décembre contre le souhait des classes dominantes qui voudraient que les classes populaires et moyennes rentrent à la maison ou au travail !

XX
Le 1% d’en-haut va-t-il payer la transition écologique via l’impôt et les taxes ? Non !
Le gouvernement va-t-il changer de cap ? Non ! 
Un gouvernement de droite, droite souverainiste ou droite pro-Union européenne ordolibérale le peut-il ? Non !
Un gouvernement "en même temps" de droite et de gauche, sous l'égide de la start-up nation ou de l'entreprise-france à objet social calé sur le profit du 1% le peut-il ? Non !
Quel combat social d'émancipation populaire avec quel combat écologique ? 
Quelles forces pour changer de cap ?

1) Quelle gauche veut changer de cap ? 

- Pas le PS ? Pas une "gauche plurielle" si on se souvient bien de ses limites ! Donc pas plus un ensemble politique affilié au PS (stratégie Mitterrand du « baiser qui tue » et du « strapontin offert au PCF » ): Que veut faire le PCF au-delà du «  les humains contre la finance » (le 1% sont des humains !) ? Que veulent faire les Ecologistes pour articuler justice sociale et justice climatique et l’imposer aux classes dominantes ?
- Autres forces politiques : Débat récurrent ici entre les propositions de la France Insoumise et du NPA avec en arrière-plan l’articulation d’une Europe avec une oligarchie néolibérale bridée et une France démocratisée (des réformes nécessaires ici pour démocratiser la "démocratie réellement existante") avec une véritable République (une sixième), tout à la fois sociale (rouge) et écologique (verte) , pas un souverainisme nationaliste de droite libérale !

2) Quelle forces d’en-bas pour imposer ce changement ?

Réponse dans un texte collectif (que j’ai signé aussi) : «les plus grands pollueurs sont exonérés de tout effort, les principales causes du réchauffement climatique ne sont pas traitées, la casse des services publics et des commerces de proximité et l’étalement urbain se poursuivent, les alternatives en matière de transport en commun ne sont pas développées. Le modèle du logement social en France est en mis en péril par sa marchandisation au profit des grands groupes privés. Dans ces conditions, ce n’est certainement pas aux classes moyennes et populaires de payer la transition écologique. » (in Justice sociale, justice climatique : c'est un changement de cap qu'il faut imposer - Libération)
Changer l'Etat ! L'Etat et la Haute Fonction publique ne doivent pas être au service de la finance, des FMN, du profit d'abord et du 1% d'en-haut (derrière la star-up nation ou l'entreprise-france et donc des FMN ou STN) mais de l'intérêt général - élémentaire - ce qui suppose de ne pas bloquer toute mesure politique qui permet de satisfaire les besoins sociaux d'en-bas et de permettre une vie meilleure pour les classes sociales modestes (moins de 1500 euros par mois) et pour les classes moyennes (juste au-dessus).  Pas de fétichisme pour les règles de Maastricht ! Faut savoir transgresser en suivant une éthique de service aux classes populaires !
Réhabiliter les services publics, les implanter sur les territoires et recruter des fonctionnaires de toute qualification sert à construire une France de justice sociale (et fiscale) et justice climatique ! 
Christian Delarue
altermondialiste signataire de
 Justice sociale, justice climatique : c'est un changement de cap qu'il faut imposer - Libération

mercredi 5 décembre 2018

Intégrisme du talon plat - JJL

Intégrisme du refus du talon haut.
Une amie me signalait qu'une femme "intégriste du talon plat" l'avait traité de prostituée simplement du fait qu'elle portait des talons hauts et qu'elle était en jupe courte (au-dessus du genoux mais pas mini-jupe).
En fait elle lui avait dit "tu cherches à améliorer ton salaire ce soir". C'est moins vulgaire que de dire "pute" mais c'est tout aussi dégradant.
Non contente d'en rester là elle a cru bon d'ajouter que les femmes en talons haut n'aimaient pas leurs pieds. Mais est-il arrivé à cette femme s'est demandé mon amie, de mettre des talons juste une soirée de trois heures pour un repas en amoureux ou tout autre occasion. Non ! C'est une intégriste du talon plat ou une intégriste du refus du talon haut. Pourtant cela ne ferait aucun mal à ses pieds ! Il en faudrait beaucoup plus.
Du talon haut au voile islamique.
Tout comme un voile islamique porté constamment nuit à la santé, aux cheveux et à la peau, peau du cou, peau des mollets et des chevilles. Surtout si il est porté constamment et depuis le plus jeune âge. En conséquence on peut penser, au nom de la santé, qu'il serait bon de porter le moins possible ce voile islamique. Mais, cela ne signifie pas s'abstenir constamment. On peut vouloir le porter de façon occasionnelle. Il est vrai qu'il y a d'autres raisons de le refuser constamment. Nombre de féministes s'opposent à ce symbole de l'intégrisme musulman le plus archaïque. Pour autant ces féministes ne vont pas jusqu'à l'interdire en toute occasion. 
Pour les talons, comme pour le voile islamique, il pourrait y avoir des souplesses et des libertés. Encore faut-il que ce soit libre. Si on ne voit pas de gamines de trois ans en talons de 14 cm on voit de plus en plus des gamines de trois ans entièrement sous voile. Il y a une poussée des intégrismes religieux musulmans, tant au sud qu'au nord, dans les quartiers populaires.

samedi 1 décembre 2018

Gilet jaune en hypotextile

Gilet jaune en hypotextile
Si l’hypertextile est libre alors l’hypotextile aussi.
En piscine à Rennes le burkini est autorisé mais pas le string seulement.
- Non à la discrimination textile en piscine
- Réciprocité textile : En société si on a de l’hypertextile (voilage des pieds à la tête) alors on doit pouvoir avoir, sans insulte ni violence, de l’hypotextile et ici le string seulement.
A défaut les intégristes religieux sexyphobiques et sexoséparatistes vont nous construire une société encore plus répressive. Les femmes ne pourront se déplacer que sous voile. La séduction par le corps sera interdite assimilée frauduleusement à de la prostitution !
Christian Delarue

Droit des femmes, des animaux, des homosexuels, de la vie...


Droit des femmes, des animaux, des homosexuels, de la vie...
Eric Fromm, philosophe et psychanalyste de l’Ecole de Francfort, a pu défendre une éthique de la vie (sous Eros) contre la destructivité des divers pouvoirs réactionnaires et fascisants (dit Thanatos) !
Au plan politique cela donne une logique d’extension du domaine des libertés démocratiques !
Christian DELARUE

http://amitie-entre-les-peuples.org/Droit-des-femmes-des-animaux-des-homosexuels-de-la-vie

http://amitie-entre-les-peuples.org/Droit-des-femmes-des-animaux-des-homosexuels-de-la-vie

vendredi 30 novembre 2018

Gilets jaunes d’en-bas : Le débouché politique du « Tiers Etat » en lutte par une Constituante .

Gilets jaunes d’en-bas : Le débouché politique du « Tiers Etat » en lutte par une Constituante .
Patrick CAHEZ sur Mdprt : « En proposant des réunions au niveau des régions et des départements pour recueillir les »doléances« , Emmanuel Macron paraît relancer la procédure des Etats généraux à l’origine de la Constituante, mettant fin à l’Ancien régime. Emmanuel Macron offre ainsi l’opportunité d’un débat sur la sixième république. Reste au »Tiers Etat« à s’y préparer efficacement pour l’imposer. »
Macron aux Gilets Jaunes : vers des Etats généraux et une Constituante ? | Patrick CAHEZ
https://blogs.mediapart.fr/patrick-cahez/blog/281118/macron-aux-gilets-jaunes-vers-des-etats-generaux-et-une-constituante
XX
Le Tiers-Etat se nomme au temps du néolibéralisme « peuple-classe », assimilé au 99% d’en-bas, repoussant les classes dominantes, privées et publique (dite Caste sur Mdprt pour la HFP) !
M Macron évoque les classes moyennes et les classes laborieuses dans une même phrase. C’est un mélange des genres.
- 1) Classes moyennes relèvent, avec classes supérieures au-dessus et les classes inférieures ou modestes en-dessous, d’une analyse stratificationniste (avec des variations d’analyses selon les auteurs).
- 2) Classes laborieuses se réfèrent aux mondes du travail, privé et public, travailleurs salariés souvent, indépendants parfois, en opposition aux classes rentières, à la finance, à ceux (et celles) qui gagnent beaucoup en travaillant très peu eu égard aux sommes gagnées. Certains se tuent à la tâche pour une misère quand d’autres ignorent l’immensité de leur richesse gagnée avec un clic ! Le néolibéralisme est le nom de cette injustice économico-sociale monstrueuse !
Les classes dominantes (au pluriel) sont aussi (pas que : cf fraction privée et fraction publique) passibles d’une analyse stratificationiste puisqu’on distingue récemment dans une revue économique le 1%, le 0,4% et le 0,1 % d’en-haut, soit trois niveaux de très riches.(cf ci-dessous)
Evoquer enfin le dernier décile d’en-haut (10%) c’est faire parfois état des plus « aisés » de la société, qui ne sont pas « classes dominantes » et qui ne sont pas dans le 1% d’en-haut, mais qui possèdent très généralement un patrimoine mobilier et immobilier qui les place au-dessus des autres en termes de confort économique, de solvabilité face aux marchés, ce qui n’est pas rien ! Les marxistes focalisés sur la production (pas tous) et pas sur la circulation marchande oublient que le marché est un rapport social de solvabilité : se soucier de ses fins de mois à zéro avant la fin du dit mois c’est une situation bien différente que de pouvoir épargner chaque fin de mois sans surveiller ses comptes.
Enfin, l’analyse marxiste évoque elle des rapports sociaux de production avec d’une part ceux et celles qui vendent leur force de travail (physique ou-et intellectuelle) et d’autre part ceux et celles qui achètent . Comme travailleurs et travailleuses, il y a ceux et celles sous statut (fonction publique), différent de celles et ceux sous contrat (variation des types et du droit ici). XX La place des cadres supérieurs vient compliquer les choses sans les modifier fondamentalement. La catégorie « cadre » est hétérogène comme celle dite « petite-bourgeoisie » (ancienne ou nouvelle ).
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Le débouché politique de ces mobilisations de ces classes sociales populaires pourrait se trouver, à écouter M Macron lui-même, dans des Etats généraux locaux débouchant sur une Constituante. Il y a la chose sérieuse - qui s’organise - et la manipulation du bas-peuple avec des « défouloirs » pseudo-démocratiques. Vigilance donc.
Christian DELARUE
Gilets jaunes - après le 17 novembre ? Une Constituante !
Les « citoyens« du »Tiers-Etat" (dit peuple-classe) peuvent réclamer une Constituante !
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CLASSISME : trois couches de riches : le 1 % , le 0,4%, le 0,1% ! - Amitié entre les peuples

jeudi 29 novembre 2018

Le Tiers-Etat se nomme désormais "peuple-classe"

Le Tiers-Etat se nomme au temps du néolibéralisme "peuple-classe"

Patrick CAHEZ sur Mdprt : "En proposant des réunions au niveau des régions et des départements pour recueillir les "doléances", Emmanuel Macron paraît relancer la procédure des Etats généraux à l'origine de la Constituante, mettant fin à l'Ancien régime. Emmanuel Macron offre ainsi l'opportunité d'un débat sur la sixième république. Reste au "Tiers Etat" à s'y préparer efficacement pour l'imposer."

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Le Tiers-Etat se nomme au temps du néolibéralisme "peuple-classe", assimilé au 99% d'en-bas, repoussant les classes dominantes, privées et publique (dite Caste sur Mdprt pour la HFP) !

Macron évoque les classes moyennes et les classes laborieuses dans une même phrase. C'est un mélange des genres. - 1) Classes moyennes relèvent, avec classes supérieures au-dessus et les classes inférieures ou modestes en-dessous, d'une analyse stratificationniste (avec des variations). - 2) Classes laborieuses se réfèrent aux mondes du travail, privé et public, travailleurs salariés souvent, indépendants parfois, en opposition aux classes rentières, à la finance, à ceux (et celles) qui gagnent beaucoup en travaillant très peu eu égard aux sommes gagnées. 

Les classes dominantes sont aussi (pas que) passibles d'une analyse stratificationiste puisqu'on distingue récemment dans une revue économique le 1%, le 0,4% et le 0,1 % d'en-haut, soit trois niveaux de très riches. (cf lien ci-dessous)

Evoquer enfin le dernier décile d'en-haut (10%) c'est faire parfois état des plus "aisés" de la société, qui ne sont pas "classes dominantes" et qui ne sont pas dans le 1% d'en-haut, mais qui possèdent très généralement un patrimoine mobilier et immobilier qui les place au-dessus des autres en termes de confort économique, ce qui n'est pas rien ! Les marxistes focalisés sur la production (pas tous) et pas sur la circulation marchande oublient que le marché est un rapport social de solvabilité : se soucier de ses fins de mois à zéro avant la fin du dit mois c'est différent que d'épargner chaque fin de mois sans trop surveiller ses comptes.

Enfin, l'analyse marxiste évoque elle des rapports sociaux de production avec d'une part ceux et celles qui vendent leur force de travail (physique ou-et intellectuelle) et d'autre part ceux et celles qui achètent . Comme travailleurs et travailleuses, il y a ceux et celles sous statut (fonction publique), différent de en contrat de droit du travail (variation ici).  XX La place des cadres supérieurs vient compliquer les choses sans les modifier fondamentalement. La catégorie "cadre" est hétérogène comme celle dite "petite-bourgeoisie" (ancienne ou nouvelle ).

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Gilets jaunes - après le 17 novembre ? Une Constituante !

Les « citoyens" du "Tiers-Etat" (dit peuple-classe) peuvent réclamer une Constituante !


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CLASSISME : trois couches de riches : le 1 % , le 0,4%, le 0,1% ! - Amitié entre les peuples


vendredi 23 novembre 2018

Le peuple-classe en gilet jaune s’oppose à l’austérité !

Le peuple-classe en gilet jaune s’oppose à l’austérité !


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LE PEUPLE-CLASSE 99% EN GILET JAUNE 
s’oppose à la cherté de la vie et aux politiques d’austérité qui frappent les classes populaires !
Ras-le-bol des picsous d’en-haut , de France ou d’Europe ou d’ailleurs !
La colère peut être en gilet jaune (cet automne 2018) ou en gilet rouge (ce printemps 2018) contre les privilèges de classes en trois strates. Les Gilets jaunes semblent plus relativiser le rapport social ouvriers-employés / patrons pour évoquer beaucoup plus un rapport social de solvabilité (cf notre article précédent) et derrière une autre redistribution des richesses qui profite moins aux riches (cf les trois strates de riches : le 1%, le 0, 4%, le 0,1% en note) et plus aux classes modestes et moyennes.
Lire : GILLETS JAUNES : Acheter : un rapport social de solvabilité . | Le Club de Mediapart
- Que l’on trouve dans ce mouvement de masse, venu surtout des classes sociales subalternes (modestes et moyennes), des sexistes, des racistes, des homophobes et divers réactionnaires ne saurait étonner ! C’est fatal dans un mouvement de masse, surtout lorsqu’il se lève hors tout cadre ordinaire de mobilisation (issu du syndicalisme ou de gauche).
- Que l’on trouve une absence de démocratie non plus ! Il s’agit d’un mouvement a-démocratique qui se lève face à la cherté de la vie ! La « démocratie réellement existante » les fait sourire... jaune ! Populisme dira-t-on !
- Que ce mouvement populaire ne plaise pas aux directions confédérales les plus rapides à signer des compromis ou les classes sociales d’en-bas modestes et moyennes perdent plus qu’elles ne gagnent n’étonnera pas plus !
- Que ce mouvement anti-austérité du 1% (classes dominantes) contre le peuple-classe pense que Macron n’est pas légitime même si le vote est légal devrait interroger celles et ceux qui ignorent ou semblent ignorer la différence entre légalité et légitimité !
Au "printemps rouge" de 2018, rapproché de mai 68, suit un automne « gilets jaunes » 2018 : La colère populaire continue... avec d’autres ! C’est toujours en-bas qui conteste !
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BESOINS d’autre chose !

Besoin d’une autre politique sociale et fiscale en lien avec la justice climatique !
Besoin de meilleurs logements moins chers pour les gens modestes !
Besoin d’une autre politique des transports, du rail notamment !
Besoin de services publics ! 
Besoin d’une alternative systémique !
Besoin d’une constituante pour une autre République et une autre démocratie dans ce pays !

Gilets jaunes : Enfin une première liste de revendications constructives - Amitié entre les peuples
Christian DELARUE
ATTAC - Fondation Copernic

CLASSISME 
Alter-éco distingue trois couches de très riches : le 1 % , le 0,4%, le 0,1% !
Le 1 % des Français les plus aisés est le grand gagnant de la politique fiscale : en 2019, ses revenus grimperont de 6 %, grâce notamment aux effets cumulés de la réforme de l’impôt sur la fortune et du prélèvement forfaitaire unique sur les revenus du capital. De manière plus précise encore, les gains se concentrent dans le top 0,4 % des niveaux de vie, qui verra son pouvoir d’achat gonflé de plus de 28 300 euros en 2019. Pour le top 0,1 %, le cadeau s’élève même à 86 290 euros !
Pouvoir d'achat : les gagnants et les perdants | Alternatives Economiques