Diversité altermondialiste

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multicolore et multitextile

lundi 27 novembre 2017

PSEUDO-ANTIRACISME : NON AU SEPARATISME RACISTE

PSEUDO-ANTIRACISME : NON AU SEPARATISME RACISTE
On répète désormais depuis l’affaire SUD 93 : « les blanc dehors (sauf les blanches voilées) et les non blancs dedans, c’est juste pour 30 minutes » Parfois avec des variantes : cf Mme Obono évoque sur Le Lab des stages non mixtes mais sans dire comment se fait l’exclusion.
Sur une base raciste, même 30 minutes c’est de trop !
Si le MRAP envisageait de soutenir çà je m’y opposerais frontalement pour que cette position reste minoritaire et que le trajet historique du MRAP soit respecté Le MRAP défend un antiracisme universaliste avec un profil historique spécifique par rapport à d’autres organisations françaises.
Le MRAP a été engagé jadis dans les combats non seulement contre le nazisme et l’antisémitisme puis contre le colonialisme, puis contre l’Apartheid en Afrique du sud puis en solidarité avec le peuple palestinien et désormais contre la xénophobie et la maltraitance des migrants ainsi que l’opposition aux contrôles policiers aux faciès partout ou ils sévissent, sans dire cependant qu’on avait par définition une Police raciste (alors qu’il y a bien des racistes dans la police ) ou un Etat raciste car la diffamation vaut aussi pour les personnes morales publiques (et des autorités administratives supérieures sont non seulement en droit mais en devoir d’agir si la qualification est avérée) .
La loi et les juges devraient interdire ce séparatisme raciste en France, même si des sociologues de type anglo-saxons ou influencés par lui ont le droit de conceptualiser ce que bon leur semble sur les pratiques sociales ! Les juristes et les juges voient autrement les choses.
Alors on dira « antiracisme moral » . Non le MRAP n’ignore pas qui sont massivement les victimes du racisme mais ce sont toujours des être humains de toute condition et de toute conscience (athée ou croyant) qui sont écoutés. Et on voit bien aussi que la complexité ne se coule pas dans un binarisme qui empêche de voir qu’un Noir peut haïr un Rom ou l’inverse et que ce n’est pas si rare . On peut voir aussi qu’une Blanche non voilée (musulmane ou non) peut être victime de violences d’un musulman intégriste. Et vu la présence des divers intégrismes religieux en France il convient de ne pas laisser dogmatiquement cela de côté.
Pas ailleurs, pas de comparaison entre genre et « race » ou « entre entre soi de paroles libérées » pour femmes et « entre-soi racial-raciste » car le passage ne doit pas se faire. Pas même dix minutes. On franchit là une ligne rouge !
Et l’extrême-droite se frotte les mains !
Christian DELARUE
Addendum : Les Blancs (juifs ou présumés tels) victimes d’antisémitisme vont-ils en atelier séparé, des ateliers non mixtes de l’antiracisme politique ? Pas que je sache !

dimanche 26 novembre 2017

UJFP, Stambul et l’intégrisme religieux.

UJFP, Stambul et l’intégrisme religieux.

J’ai connu Pierre STAMBUL, juif athée, au MRAP jadis lorsque j’étais membre du BE du CA du MRAP . Il était aussi a l’UJFP (pas moi) et à l'EE (syndicat enseignant). Il est devenu depuis co-président de l'UJFP. Il n’avait pas encore écrit son gros livre (1) sur le sionisme . 
C’est un camarade qui dispose (comme d’autres de la commission antisémitisme du MRAP) d’une forte culture sur les questions du sionisme, du colonialisme atroce et du racisme lourd en Israel - des barbaries innommables en Israel il faut le dire nettement . Ce sont des questions que posent de nombreux citoyens dans les réunions publiques, y compris des antiracistes. Il était en capacité de débattre tout à la fois sur la critique très ferme d’Israel et de s’opposer tout aussi fermement à l’antisémitisme. 
Concernant l’islamophobie il cherchait, comme moi à critiquer les intégrismes musulmans, à ne pas les épargner et à protéger les autres musulmans du racisme. Autant que je me souvienne il n’était pas, comme moi, opposé à la loi de mars 2004 contre les signes religieux ostensibles. 
Ce camarade antisioniste et antiraciste universaliste combattait toutes les formes de racisme mais il critiquait comme moi à cette époque les intégrismes religieux tant celui musulman que celui juif ou d’autres encore .
Or j’ai l’impression peut-être fausse qu’aujourd’hui, depuis quelques années l’UJFP a entrepris un cours idéologique et pratique de silence et d’’impasse sur les intégrismes religieux. 
Même réponse qu'à Edwy PLENEL et à son livre bien lu pour sa critique des "intégristes laïcistes" (dont je suis ) mais pas des intégristes religieux sexoséparatistes : Pour certains musulmans et pour certains juifs ! Pas tous ! Faire barrage au sexoséparatisme !
Christian DELARUE
Israël/Palestine : Du refus d'être complice à l'engagement - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=9zsdJBNlJDk
C’est quoi le sionisme ? par Pierre Stambul de l'UJFP - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=r9kK9Xi_BV0

dimanche 19 novembre 2017

CONTRE LES SIGNES OSTENSIBLES (SO) DE RELIGION EN RECEPTION CLIENT DES ENTREPRISES PRIVEES - CONTRE LES SO DE RELIGION EN MILIEU CONTRAINT DURABLE ET PROXIMAL (au travail)

CONTRE LES SIGNES OSTENSIBLES (SO) DE RELIGION EN RECEPTION CLIENT DES ENTREPRISES PRIVEES - CONTRE LES SO DE RELIGION EN MILIEU CONTRAINT DURABLE ET PROXIMAL (au travail)

Deux poids deux mesures et privilège donné à la religion.
Quand on vous impose un signe ostensible (SO) de religion en réception de clientèle d’une entreprise privée car on doit respect de la religion (islam si voile) et que l’on interdit par ailleurs les AUTRES signes ostensibles , les SO syndicaux ou les signes ostensibles politiques voir les signes un brin loufok style « écho des savanes » ou « charlie hebdo » ne s’agit-il pas là d’un « deux poids deux mesures » et un privilège donné à la religion ?
Car il y a là surexposition de religion sans s’occuper du sentiment d’autrui qui est méprisé . D’autant que le sentiment de discrétion issue d’une culture sécularisée est réprimé au nom de la DDHC en son article 18. C’est un abus. Retour ligne automatique
Je le dis tout net bien que cela ne plaise pas aux fans de l’exhibitionnisme religieux que je critique et nomme ainsi avec d’autres noms parfois : voilophobie ou « islamophobie du voile » bien différente de l’« islamophobie d’amalgame » contre tous les musulmans.
Inverse hypotextile refusé
Cet exhibitionnisme religieux insupporte d’autant plus que s’agissant du voile et de l’hypertextile son inverse hypotextile n’est pas autorisé : les décolletés profonds sont interdits (cf la ministre PS dans son ministère de l’écologie il y a qlq années). On ne saurait aller recevoir un client en string seulement (seins nus si femme) en été ce qui signifie très clairement si on veut bien aller derrière les apparences - ce qui est le propre de la critique - que la loi estime qu’il faut alors, en ce cas, respecter la gêne d’autrui - celui qui voit - face à un nu relatif dit ici exhibitionnisme charnel ce qui est là stigmatisation de cette expression particulière de conscience. Eh oui !
Deux gênes, deux statuts.
Cette gêne-là face au corps dénudé (sauf les « caractères sexuels primaires » : les organes sexuels sont cachés en société sauf nudisme circonscrit) est alors reconnue socialement et juridiquement et nullement questionnée.
On ne dit pas a celui qui voit le semi-nu « éduquez-vous » et « éduquez vos enfants à la vue des corps humains différents ». Un sein c’est un sein et dans nos cultures ils sont jugés attirant mais l’attraction et la séduction relève d’un jeu social qui doit impérativement se faire sous la règle du respect Dura lex sed lex ! Mais là grand silence ! Rien ! Nada ! Culture du viol à la place (dont tout le monde souffre surtout les femmes) !
Cà mon fils c’est une bite ou çà c’est une chatte et il y a des enjeux : on prend un papier et on explique les différents enjeux selon l’âge ! Au lieu de çà, on stigmatise socialement et juridiquement le semi-nu et l’hypotextile. On laisse faire la sexyphobie.
La double emprise 
Par contre le voile et l’hypertextile peut se répandre sans souci . On a là une double emprise, un impérialisme culturel double : contre l’hypotextile, contre la conscience sécularisée des religion (religion privée ou discrète).
La réciprocité culturelle textile (voir ce concept de RCT sur Mediapart) voudrait un équilibre qui n’existe pas ! L’hypertextile est montant et avec lui on a en plus le signifiant religieux qui vous pète à la gueule ! Et il faudrait se taire face à ce double impérialisme culturel !
L’exhibitionnisme religieux hypertextile gêne autant (voir bien plus) que l’hypotextile.
L’hypotextile ne gêne pas tout le monde loin de là et ce n’est pas parce que les gens sont voyeurs (je peux éventuellement être attiré mais j’applique la théorie du « double regard ») mais l’hypertextile religieux heurte doublement le sentiment de justice. Je pourrais appliquer aussi le « double regard » (cf texte personnel) et d’ailleurs je le fais mais cela ne m’empêche pas de soulever le point critique qu’il faut dire et répéter face à l’emprise répétée de l’exhibitionnisme religieux .
6  C’est là une forme d’imposition de sa croyance à autrui qui se cache derrière la respectabilité usurpée de la religion. 
La religion n’a pas a avoir de privilège par rapport aux autres expressions de conscience. Mais çà c’est pas encore entré dans toutes les têtes intoxiquées aux soit-disant vertus de la religion, même pour des athées. Voilà la source du blasphème : ce recours à un procédé de rabaissement de ce qui est surélevé et en surplomb, procédé de désacralisation de ce qui est fétichisé, placé au-dessus des humains
Ce n’est pas qu’il faille voire les croyants tout en mal ! Non précisément certains sont vivables et discrets ! Tous ne sont pas bons et tolérants ! Pas de binarisme classique : tous mauvais ou tous biens ! Bien soit forcément bon et respectable. !
7  Cela fait bien l’affaire des intégristes religieux (musulmans et juifs haredim)
Ces intégristes religieux développent partout dans le monde (surtout ceux musulman ici) et avec efficacité des pratiques sexistes spécifiques (en plus d’autres) de sexoséparatisme (femmes à la maison) et de sexyphobie maladive (les femmes doivent se cacher ). C’est une très lourde oppression intégriste qui pèse sur les femmes et souvent depuis le plus jeune âge puisque les familles (père et mère) n’hésitent pas à voiler dès 5 ans les petites filles.
Christian DELARUE

dimanche 12 novembre 2017

Elites de service public et élites marchandes et capitalistes.

Division possible du « eux »
Elites de service public et élites marchandes et capitalistes.
Comme d’autres, à propos de « stratégie contre-hégémonique » je divise souvent un « eux et nous » sur une base VERTICALE soit en-haut (sous des noms divers) et en-bas, le peuple-classe ou les 99% voire pour certains les 90%. Cela se distingue de la division« eux et nous » sur un axe HORIZONTAL : soit « dedans-dehors » ou les nationaux et les étrangers. Ce schéma me servait, en première approche (pas que çà) antiraciste et antifasciste, bien avant les débats récents sur Laclau et Mouffe pour distinguer populisme de droite et populisme de gauche. Mais passons sur ce débat ici. Mieux vaut lire en termes de réflexion stratégique : « La gauche, le peuple et la stratégie contre-hégémonique » (Christian Delarue) - Les blogs d’Attac
https://blogs.attac.org/contre-hegemonie/democratisation/article/la-gauche-le-peuple-et-la-strategie-contre-hegemonique-christian-delarue
xx
Ici il y a rupture relative avec ce schéma paradigmatique pour penser autrement dans une perspective anticapitaliste et pro-socialiste. Il n’y a pas abandon du principe de conflit vertical, ni volonté de passer à la construction d’un bloc qui serait surtout élitaire avec simplement des classes populaires d’appui au dispositif d’en-haut.
Commençons par une citation d’Olivier Rey (1) : « Appartenir à une élite, c’est aussi savoir qu’il n’y a d’honneurs légitimes que proportionnés aux services que l’on rend, aux devoirs auxquels on s’astreint. Au lieu que pour les prétendues élites actuelles, politiques ou financières, le pouvoir est d’abord une façon de s’affranchir des règles communes. »
Le terme élite ne revoie que très secondairement désormais à son sens ancien d’élite intellectuelle , de penseur, de philosophe de la société ou d’intellectuel organique. Les élites sont surtout les personnes qui occupent le sommet de la hiérarchie, tant dans la société civile que dans l’appareil d’Etat. On use plus souvent de nos jours, à l’exception d’un Thierry Brugvin, (sociologue du CS d’ATTAC) du terme oligarchie (cf « Le règne des oligarchies » d’Alain Cotta - Plon). Mais conservons ici le terme élite qui est plus large .
Je prends comme piste et hypothèse qu’il y aurait à distinguer - avec d’autres critères complémentaires tout à la fois nécessaires mais rendant les convergences difficiles (écologie, antiracisme, antisexisme, laïcité, etc) - au sein des élites entre les élites de service public (et pro-service public) et les élites marchandes et-ou pro-capitalistes. Encore faut-il pouvoir les distinguer !
Servir le mieux que l’on peut la valeur d’usage et la satisfaction des besoins sociaux ce n’est en principe pas la même chose que d’occuper tout son temps à servir la valeur d’échange - autrement dit penser constamment à utiliser ce qui est produit, utile ou non, voire néfaste, pour vendre (marchandisation) et surtout vendre pour faire du profit, de très gros profits s’agissant des firmes multinationales. Dans un cas on a une élite qui sert l’intérêt général dans la mesure ou elle le peut, eu égard au contexte qui fait pression contre, et dans l’autre on a une élite qui se sert d’abord et qui serre les coudes collectivement comme classe dominante. Ici le terme élite venu de la science politique rejoint un certain marxisme ou la sociologie des Pinçon-Charlot.
Autre chose, il y a des élites assermentées qui chaque jour se font un souci de ce qu’est le droit et la justice et essaient de s’y tenir alors qu’elles sont comme les autres : faillibles. Mais un scrupulum (le petit caillou dans la chaussure) leur signale, en fonction de leur expérience professionnelle, les « sorties de route » du droit pour corriger la pratique . A l’inverse, d’autres élites sont elles spécialisées dans le camouflage des malversations pour les firmes multinationales et les très riches. Ainsi, une grande partie des avocats d’affaires gagnent de très gros honoraires à favoriser la dissimulation fiscale.
In fine, on a aussi une mentalité ou une conscience différente en termes de justice sociale : les premières élites sont certes aisées au plan du contenu patrimonial mais ne sont ordinairement pas dans l’obsession d’accumuler des richesses matérielles diverses, contrairement aux autres élites. Ces autres, n’en ont jamais assez, au-delà du « look » qui peut être trompeur .
Le problème politique et stratégique du militant est de repérer ces élites de faire alliance avec une fraction progressiste ou d’émancipation sociale. Ce qui suppose une nette démarcation pas toujours visible dans la « vraie vie », vu d’en-bas ! Il y aurait trop de collusions et de mélange des genre pour une telle mise en oeuvre . A débattre .
D’ou le retour à la démarcation première entre « en-haut et en-bas » qui reflète un écart de position sociale et une difficulté à prendre contact et discuter avec ces élites de progrès social et populaire.
Christian DELARUE
Membre du CA de Convergence des Services publics
(Expression personnelle)
1) Olivier Rey – Le Système, les élites et le peuple – Miscellanées
Sur un modèle de service public, des réflexions anciennes :
- Logique du marché contre logique du service public en 9 repères. par Christian Delarue - mardi 27 septembre 2005,
- La longue résistance du service public à la marchandisation et axes de rupture. - Attac 35 Ille et Vilaine
https://local.attac.org/35/dossiers-147/dossiers/Logique-de-marche-Logique-de/La-longue-resistance-du-service

CORCUFF Ph : LES AMALGAMES ESSENTIALISTES


 CORCUFF Philippe : LES AMALGAMES ESSENTIALISTES

Pour reprendre une formule du sociologue et altermondialiste libertaire Philippe CORCUFF (1) je condamne aussi comme antiraciste les « amalgames essentialistes ». C’est la base théorique de la critique antiraciste .
I - MUSULMAN : lequel ?
Cela suppose une critique de la « mise en majuscule du Musulman ou de tout autre croyant ». Je critique depuis fort longtemps, cette mise en communauté qui amalgame le croyant progressiste et le croyant réactionnaire, ce dernier étant lui-même subdivisé.
Les divers « entrepreneurs en préjugés pratiquent un amalgame répété », amalgame qui confond sous un même mot des musulmans intégristes d’un côté et des musulmans progressistes de l’autre et d’autres encore : islamiste , djihadisme.
Les « amalgames essentialistes occupent le terrain du manichéisme ». Le binarisme actuel reflète ce manichéisme : On trouve à droite ceux et celles qui dénigrent l’islam et les musulmans comme si les musulmans faisaient tous et toutes une même lecture du Coran et de l’Islam et on trouve à gauche ceux et celles qui non seulement défendent les musulmans en bloc - tous sans distinction (cf livre de M Plenel) - mais fustigent les premiers sous le thème de la « haine de la religion » et d’islamophobie. Entre ces deux postions totalisantes et amalgamantes on a une troisième position intermédiaire - non campiste - qui porte sa critique que contre les intégrismes religieux, compris comme un contre-mouvement réactionnaire en matière de moeurs et de droits des femmes.
Je ne cesse de répéter qu’il existe « des islams » dont certains peuvent faire problème - sexoséparatisme, harcèlement sexyphobique, intolérance de moeurs - et d’autres non : adoption des principes de liberté et d’égalité hommes-femmes, pas de sexyphobie, comportements vivables, tolérance, etc .
II - JUIF et sionisme
D’autres « entrepreneurs » sont nettement antisémites et pratiquent un amalgame sur l’autre versant , entre « État d’Israël », « sionisme » et « juifs ».
Les défenses contre l’antisémitisme ont été affaiblies dit Philippe Corcuff au sein de secteurs de la gauche ces dernières années. Certains, comme le groupusculaire mais médiatique Parti des indigènes de la République, ont exprimé une compréhension teintée de complaisance à l’égard des dérives de Dieudonné et des crimes de Mohamed Merah. En mars 2015, le PIR a même lancé le thème ambigu du « philosémitisme d’État », susceptible d’être entendu comme un équivalent du funeste « lobby juif » (voir http://www.grand-angle-libertaire.net/indigenes-de-la-republique-pluralite-des-dominations-et-convergences-des-mouvements-sociaux-philippe-corcuff/).
D’autres ont participé à relativiser l’antisémitisme et sa recrudescence depuis le meurtre d’Ilan Halimi en janvier-février 2006, dont la stèle en son hommage vient une deuxième fois d’être vandalisée à Bagneux (Hauts-de-Seine).
Christian DELARUERetour ligne automatique
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Co-auteur d’URGENCE ANTIRACISTE